Le nouvel océan indien et ses dynamiques stratégiques

Mis en ligne le 16 Nov 2021

Passée d’une zone considérée comme « vide stratégique » à une région aux dynamiques de première importance en moins d’une décennie, l’Océan Indien suscite désormais études, réflexions et débats. L’auteur propose un retour sur la vision française de l’Océan Indien et la remet en perspective, à partir des tendances lourdes qui animent la région.

Les opinions exprimées dans cet article n'engagent pas le CNAM.

Les références originales de ce texte sont : “Le nouvel océan indien et ses dynamiques stratégiques”, écrit par Jean-Loup SAMAAN. Ce texte, ainsi que d’autres publications, peuvent être consultés sur le site du CESM.

Longtemps, l’océan Indien a été perçu comme une simple zone de passage entre l’Asie et l’Europe qui ne disposait pas de sa propre cohérence géopolitique. En 1966, Alastair Buchan, alors directeur de l’International Institute for Strategic Studies, écrivait sans ambages qu’il n’était « rien de plus qu’une étendue d’eau entourée de terre et non un ensemble stratégique comme l’Atlantique et le Pacifique[1]. En d’autres termes, les sous-ensembles de l’océan Indien se révélaient trop différents les uns des autres pour que l’idée d’une politique régionale soit jugée convaincante. En France, la zone n’a longtemps suscité que très peu de travaux dans le champ des études stratégiques[2]. Cela peut surprendre alors que la France y gardait la pleine souveraineté sur un ensemble de territoires (La Réunion, Mayotte, les îles Éparses) et qu’elle disposait d’un commandement militaire pour l’ensemble de la région – ALINDIEN – depuis 1973. Toutefois, cet ancien désintérêt a laissé place au cours des quinze dernières années à un nouveau débat sur la nature stratégique de l’océan Indien, et en particulier autour des nouvelles dynamiques qui s’y dessinent et de leurs conséquences sur les intérêts français dans la région. Cet article entend non seulement retracer cette évolution récente de la problématique de l’océan Indien en tant qu’espace géostratégique mais aussi mettre en perspective les tendances lourdes qui devraient nourrir la réflexion navale dans les années à venir.

Lectures françaises de l’océan indien

Le diagnostic français sur l’océan Indien a sensiblement évolué au cours des quinze dernières années. En 2008, au moment où la piraterie au large de la Somalie prend une ampleur régionale et conduit l’Union européenne à lancer l’opération Atalanta, le Livre blanc sur la Défense et la sécurité nationale (LBDSN) affirme l’idée d’un « arc de crises » qui s’étendrait de la zone sahélienne jusqu’à l’Afghanistan[3]. Le terme, nouveau dans la terminologie officielle française, trouve son origine dans le débat stratégique américain de la fin des années soixante-dix. Ainsi, en décembre 1978, Zbigniew Brzezinski, alors conseiller à la sécurité nationale du président Jimmy Carter, affirme qu’« un arc de crises s’étend le long des rives de l’océan Indien, avec des structures politiques et sociales fragiles dans une région vitale pour nos intérêts et menacées de fragmentation[4].

Nonobstant l’absence de lien direct entre les situations de chacun des pays bordant l’océan Indien, le concept permet aux rédacteurs du LBDSN de 2008 d’englober des problématiques telles que la piraterie maritime, les trafics illicites (drogue, armes) mais aussi des crises régionales (corne de l’Afrique, golfe Persique, conflit indo-pakistanais). Si le terme passe bientôt dans le langage courant des Armées, il fait l’objet de multiples critiques. Certains observateurs, tel le géographe Michel Foucher, soulignent l’effet déformant du concept, qui non seulement donnerait aux crises de l’océan Indien une dimension unificatrice mais tendrait à surestimer « une menace terroriste globale dont les racines seraient concentrées dans cet arc et qui n’est pas de nature stratégique»[5]. Dans sa conférence aux Ambassadeurs d’août 2010, l’ancien président Nicolas Sarkozy prolonge les réflexions amorcées par le LBDSN et tente de nuancer les contours incertains de cet « arc » : « Chaque pays fait face à une situation spécifique qui doit recevoir une réponse adaptée des gouvernements en charge. Il n’y a pas aujourd’hui de coordination opérationnelle entre les groupes qui agissent d’un bout à l’autre de cet arc de crise. Mais si la situation devait se dégrader, le risque serait grand de voir apparaître une chaine continue liant les bases terroristes de Quetta et du Sud-afghan à celles du Yémen, de la Somalie et du Sahel »[6].

L’analyse ne convaincra pas véritablement et le concept est finalement abandonné dans le Livre blanc de 2013, qui, de manière plus prudente mais assez floue, évoque la notion de « zone d’intérêt prioritaire». L’océan Indien y est décrit comme une « zone de transit pour le commerce international […] au cœur d’enjeux stratégiques mondiaux »[7] et l’environnement sécuritaire s’y apparente simplement à une agrégation de multiples crises.

Si la dernière Revue stratégique de 2017 ne revient pas sur ces querelles de terminologie, elle prend acte des derniers développements stratégiques dans la zone, et plus particulièrement de « la montée en puissance militaire chinoise et des conséquences qu’elle pourra avoir dans les nouvelles zones d’interaction en Afrique (Djibouti) et dans l’océan Indien»[8]. Cette citation donne à voir l’évolution du regard français sur l’océan Indien en l’espace d’une décennie : la région est passée d’une zone de vide stratégique uniquement ordonnée par les crises en son sein à une zone de compétition autour du facteur chinois. L’inconvénient, toutefois, d’une telle lecture est qu’elle tend à faire de l’océan Indien une région stratégique. La Force navale de l’Union européenne, accompagnée par la marine japonaise, déployée dans le cadre de l’opération Atalanta au large de la Somalie, octobre 2020. © European Union Naval Force, Operation Atalanta. qui n’existe que par ses acteurs extérieurs. Il s’agit là d’un biais qui n’est pas propre au débat français et qui se repère aussi dans les lectures américaines. Dans un article remarqué de Foreign Affairs, le journaliste Robert Kaplan avait déjà fait en 2009 de l’océan Indien le théâtre du grand conflit entre les États-Unis et la Chine[9]. Dans une telle vision, même une puissance locale comme l’Inde est alors vouée à jouer les rôles de supplétif à Washington face à Pékin. Les limites d’une telle analyse avaient été notées par les universitaires James Holmes et Toshi Yoshihara qui soulignaient qu’« une approche aussi étroite suppose que la région restera un objet inanimé vulnérable aux manipulations de l’extérieur»[10].

La Revue stratégique de 2017 n’ignore pas pour autant la persistance de crises de basse intensité, notamment liées à la piraterie mais ces éléments semblent relégués au second plan. Dans cette perspective, il importe de prolonger le débat sur les grandes tendances à l’œuvre dans l’océan Indien, afin de bénéficier d’un cadre analytique plus robuste. Il ne s’agit pas seulement d’un exercice intellectuel, la compréhension des dynamiques dans la zone détermine, in fine, la capacité de notre appareil diplomatique et militaire à défendre les intérêts français dans la région.

Les problématiques structurantes du nouvel océan indien

Plusieurs problématiques s’enchevêtrent dans la région, formant ainsi un environnement sécuritaire extrêmement volatil. Pour autant, il est possible de dégager quatre grandes dynamiques à l’œuvre dans la structuration de l’océan Indien comme région stratégique et susceptibles d’influencer les futurs choix politiques de la France.

La Chine comme facteur tant d’unification que de polarisation

La politique chinoise dans l’océan Indien est devenue l’élément structurant entre l’ensemble des acteurs locaux. C’est là le résultat du vaste projet économique – la Belt and Road Initiative (BRI) – porté par Xi Jinping depuis son arrivée au pouvoir en 2013. La BRI entend relier les infrastructures terrestres et portuaires de l’Europe jusqu’aux rives asiatiques afin de créer des corridors acheminant ressources et marchandises vers la Chine. Compte tenu des investissements massifs que la BRI engendre et les enjeux de développement économique qui en découlent pour les pays riverains de l’océan Indien, le dispositif chinois est devenu l’objet autour duquel chacun doit se positionner, afin d’en tirer profit et d’éviter sa marginalisation au sein de l’économie régionale qu’une absence du projet impliquerait. En ce sens, la BRI unifie les acteurs de la zone en créant une future interdépendance.

Mais elle est aussi porteuse de risques de polarisation car l’adhésion à la BRI sous-entend un alignement politique des pays de la zone sur l’agenda de Pékin. En d’autres termes, les investissements chinois dans les zones sous-développées de l’océan Indien s’accompagneraient de conditionnalités, plus ou moins explicites, quant à l’adoption de l’agenda stratégique chinois par les autorités locales. Le développement chinois n’est désormais plus cette « ascension pacifique » dépeinte il y a une décennie encore par l’ancien président Hu Jintao. Il s’accompagne désormais d’une montée en puissance militaire qui, sans être entièrement clarifiée, n’est plus minimisée par ses architectes. La création d’une base navale à Djibouti en 2017 et le déploiement ostentatoire des capacités chinoises en de nombreux points de la zone en sont une parfaite illustration. En outre, selon le rapport annuel du Pentagone sur la puissance militaire chinoise, pas moins de douze pays dans la zone envisageraient la possibilité d’offrir des accès portuaires à la marine de guerre chinoise[11].

Les nouvelles ambitions de la politique régionale indienne

La première conséquence de la question chinoise dans l’océan Indien est la relance d’une politique de partenariats de New Delhi avec son voisinage, vers les pays de l’ASEAN, de la péninsule arabique, ainsi que du pourtour africain. Si l’Inde a toujours perçu l’océan Indien comme sa zone d’influence naturelle, longtemps, ses gouvernements n’ont pas décliné cette vision en priorités politiques et budgétaires. Le retard capacitaire de la marine indienne en est l’illustration : longtemps contrainte par son affrontement aéroterrestre avec le Pakistan, l’Inde n’a pas pu – ou pas su – projeter ses ambitions en mer[12].

On observe toutefois aujourd’hui une impulsion nouvelle qui est, en grande partie, le fruit de Narendra Modi et de son fidèle conseiller à la sécurité nationale Ajit Doval, depuis l’élection du premier en 2014. Cette impulsion s’inscrit dans le contexte de relations sino-indiennes de plus en plus tendues. Les dirigeants de Delhi sont bien conscients du phénomène d’unification-polarisation qui découle de la politique chinoise dans la région et entendent éviter un décrochage indien sur les plans diplomatique, économique et militaire. Cela prend donc la forme d’une relance de la Look-East Policy envers les partenaires d’Asie du Sud-Est mais aussi des coopérations économiques et militaires avec l’Arabie saoudite ou encore les Émirats arabes unis (EAU), qui avaient été lancées au début des années 2000 sans véritable concrétisation.

La combinaison de ces ambitions indiennes et chinoises provoque des situations pour le moins délicates dans l’océan Indien, avec des pays courtisés simultanément par les deux. C’est le cas par exemple du sultanat d’Oman où Indiens et Chinois investissent militairement et économiquement dans le port de Duqm, et qui pourrait devenir au cours des prochaines années la « Djibouti du Golfe ». Les Maldives sont un autre exemple : alors que l’île s’est longtemps rangée sous la tutelle stratégique de Delhi, l’influence économique de Pékin n’a cessé d’y grandir depuis le milieu des années 2000. En 2017, son président Abdulla Yameen, élu en 2013, signe un accord de libre-échange avec la Chine et permet à celle-ci de lancer de multiples projets d’infrastructure faisant des Maldives un point d’appui de la BRI. Si la proximité avec Pékin s’est quelque peu érodée après la défaite électorale de Yameen en 2018, les finances de l’île restent dépendantes des investissements chinois, et ce malgré les tentatives indiennes de les contrebalancer[13].

L’océan indien sous le prisme de la stratégie indo-pacifique des états-Unis

En décembre 2017, la National Security Strategy de l’administration Trump officialise une nouvelle approche tendant à faire des océans Pacifique et Indien une même zone stratégique, l’Indo-Pacifique. Dans la foulée, le Département de la Défense annonce rebaptiser le Pacific Command l’Indo-Pacific Command afin de mieux souligner les conséquences opérationnelles de cette stratégie. Toutefois, cette rénovation de la politique américaine reflète moins la centralité de l’océan Indien que son indexation aux problématiques asiatiques, et plus particulièrement à celles ayant trait à l’expansion maritime chinoise[14]. Sur le plan institutionnel, l’océan Indien reste une zone secondaire pour le Département de la Défense, une zone entre deux que se partagent les commandements Afrique, Moyen-Orient et Indo-Pacifique. En réalité le préfixe « indo » ne désigne ici pas l’océan Indien mais uniquement l’Inde, l’ensemble du pourtour occidental de la zone étant relégué aux autres commandements.

L’émergence à Washington de l’idée d’une zone « indo-pacifique » souligne donc en creux que ce n’est encore que par les rapports de force asiatiques que l’océan Indien peut être compris. Cet effacement américain n’est pas pour autant un retrait tel que celui entamé par le Royaume-Uni en 1968 « à l’est de Suez » et qui avait complètement redéfini les rapports de force dans la région. L’effacement de Washington ne remet pas pour l’instant en cause la supériorité militaire encore éclatante des États-Unis dans la zone mais il pose, à plus long terme, la question de leur volonté d’intervenir dans des crises futures.

L’émergence de nouveaux acteurs en quête d’autonomie stratégique

Il s’agit probablement de la dynamique la plus récente et la plus saisissante. La dernière décennie a été marquée par la volonté grandissante d’États littoraux de l’océan Indien d’être davantage maîtres de leur destin, ou du moins de diversifier leurs partenariats économiques et militaires. Ainsi, non seulement les monarchies du Golfe lancent leurs propres opérations militaires, telles que la coalition emmenée par Riyad au Yémen depuis 2015, mais aussi certaines d’entre elles s’affirment de plus en plus comme des puissances régionales dont l’influence se fait sentir bien au- delà de la péninsule arabique, et tout particulièrement dans la corne de l’Afrique. Ainsi, les Émirats arabes unis déploient leur armée en Érythrée et au Somaliland tandis que l’Arabie saoudite ouvre une base à Djibouti.

Ces jeux de pouvoir propres à la zone ajoutent un niveau de complexité dans notre compréhension des dynamiques entre les sous-ensembles régionaux de l’océan Indien. Ainsi, la crise de 2017 opposant le Qatar au quartet arabe (Arabie saoudite, EAU, Égypte, Bahreïn) a provoqué des secousses au-delà du Golfe. Les Maldives, où les investissements d’Abou Dabi n’ont cessé de croître au cours des cinq dernières années, se sont rangées aux côtés des EAU et de l’Arabie saoudite. A contrario, la Somalie a refusé de suspendre ses relations avec Doha et des tensions en ont découlé avec le quartet, conduisant, en partie, les EAU à remettre en cause leur aide fournie à la formation des forces de sécurité somaliennes. En outre, les États du Conseil de coopération du Golfe entendent devenir des puissances moyennes de l’océan Indien tout en renforçant leurs relations avec les trois principaux acteurs stratégiques, qu’il s’agisse de la Chine, des États-Unis et de l’Inde. La coopération accrue de Riyad et Abou Dabi avec Pékin, que ce soit dans le domaine militaire (via les importations de drones, de missiles balistiques) ou de santé (par exemple avec la participation aux programme Sinopharm pour le vaccin contre la COVID-19) n’est pas sans entretenir la nervosité des décideurs américains et il est fort à penser qu’elle devrait conduire à une pression accrue de Washington sur ses partenaires du Golfe. En tous les cas, ces épisodes ne sont pas anecdotiques : ils donnent à voir l’enchevêtrement progressif des problématiques stratégiques des sous-ensembles régionaux de l’océan Indien, un phénomène qui devrait être amené à se poursuivre au cours des prochaines années.

Conclusion

Il ressort de ce tour d’horizon une perspective sur l’océan Indien plus complexe et surtout plus dynamique. L’océan Indien n’est plus exactement la zone de vide stratégique décrite par le LBDSN de 2008 comme en atteste la compétition désormais structurante entre la Chine, l’Inde et les États-Unis. À cela s’ajoutent les ambitions nouvelles de puissances émergentes dans la zone qui entendent conduire leur propre politique régionale. Or dans le même temps, la zone reste sans aucun doute marquée par un vide de gouvernance qui se reflète dans l’absence d’une architecture de sécurité viable. Il n’existe pas à l’heure actuelle d’organisation régionale dont le mandat et les ressources pourraient permettre de travailler en ce sens : l’Indian Ocean Rim Association ou encore la Commission de l’océan Indien sont des entités modestes qui ne prétendent pas jouer ce rôle.

Dans le cadre d’une réflexion future sur les intérêts français dans la région et les modalités de leur défense, il est nécessaire, non seulement de prendre acte des quatre dynamiques précédentes, mais aussi de poursuivre la réflexion autour de trois problématiques qui en découlent et qui sont susceptibles d’orienter les tendances politiques dans la zone.

Il s’agit tout d’abord, de déterminer dans quelle mesure la compétition régionale entre la Chine, les États-Unis et l’Inde continuera à façonner les calculs des États littoraux et conditionnera les orientations de ces derniers vis-à-vis d’une logique qui est de plus en plus celle d’un jeu à somme nulle. À cet égard, la pandémie de la COVID-19 a non seulement révélé ces fractures au sein des pays de la région mais aussi renforcé la bipolarisation entre Washington et Pékin. Il nous faut ensuite saisir le degré d’autonomie des dynamiques des ensembles sous-régionaux de l’océan Indien (corne de l’Afrique, Golfe, Asie du Sud) et évaluer si celles-ci ne risquent pas de renforcer la fragmentation plutôt que la cohésion régionale. Enfin, nous devons nous interroger sur les modalités d’une gouvernance future dans la zone en l’absence, à ce stade, de mécanismes crédibles. Pour un pays qui, comme la France, se perçoit comme une puissance riveraine de l’océan Indien, la question est de savoir si elle doit œuvrer au renforcement d’institutions et d’initiatives multilatérales déjà existantes telles que celles mentionnées plus haut (l’Indian Ocean Rim Association ou dans le cadre militaire, l’Indian Ocean Naval Symposium) ou plutôt considérer que l’architecture de sécurité régionale émergera via le recours croissant aux partenariats ad-hoc rassemblant trois à quatre pays, à l’instar du dialogue stratégique France-Inde-Australie[15] ou encore du projet similaire France-Inde-EAU. Les réponses à ces problématiques pourraient bien, in fine, irriguer la politique régionale que Paris souhaiterait mettre en œuvre.

References[+]


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